Si Vénus avait su

Dans une société validiste qui n’en finit plus de tresser les injonctions en matière d’image, qu’advient-il de celles et ceux qui tombent ? Qui se préoccupe des corps âgés, malades, traumatisés, gros, multiples, hybrides ou précaires échouant à répondre aux codes de la beauté normative. Cabaret interactif ou mégasoin, Si Vénus avait su prend la forme d’une ode à nos vulnérabilités, à nos corps cicatriciels. Une ode aux socio-esthéticiennes aussi, qui consacrent leur vie au soin de l’autre et à la réparation où le toucher devient une matière à tisser du lien social pour apaiser et réconcilier.

Mise en scène et conception Margaux Eskenazi ;Écriture et conception Sigrid Carré-Lecoindre
Collaboration à la mise en scène Chloé Bonifay : Avec Laurent Deve ou Martin Jaspar et Dana Fiaque ; Création musicale et sonore Antoine Prost